Oula, ne vous énervez pas.
Non je ne me moque pas.
Mais suis-je maladroit? Sans aucun doute. Est-ce que je formule mal ce que je cherche à exprimer? A l'évidence.
Comme lever ce malentendu lié à une maladresse langagière de ma part?
Disons que... s'il y a plusieurs niveaux :
la passion > l'envie (motivée) > l'envie (rêve) > l'absence d'envie, je me trouve pile poil au milieu.
Je me suis mal exprimé sur la question de l'envie. Je ne parlais pas tant de moi, au départ que du positionnement de l'envie par rapport à la passion.
C'est ma faute, sans aucun doute, j'ai mélangé des propos qui se voulaient généraux et des considérations qui relevaient de mon cas.
Cette partie me concernait :
Citation:
N'ai-je vraiment rien qui me fasse "envie"? Si [...]
Ceci dit, c'est le point qui me fait relativiser cette "envie", si vraiment c'était ce que je voulais, il me semble que je m'intéresserais aux sites web sur ces sujets, ça n'est même pas le cas.[là je considérais mon "inconscient" -> est-ce que mes envies conscientes sont aussi mes envies inconscientes -et inversement-]
Le problème est là : plein d'idées, aucune passion.
A partir du post suivant, je parlais de généralité par rapport au berger et cette question d'action passive. Je cherchais à comprendre. C'était pure théorie, pure rhétorique, pas "mon cas".
Citation:
En l'absence de passion, de centre d'intérêt qui -en quelque sorte- nous transcende, la passivité peut conduire tout simplement à l'inactivité. Faute d'envie, faute d'aspiration, faute d'inspiration. Ce n'est pas une accusation. Je vais formuler autrement, disons, plutôt que faute d'inspiration, en l'absence d'idée, de motivation, d'envie.
On passe de la passivité à l'inactivité et l'ennui. Si on ne se force à rien et que rien ne nous fait envie, quelle "action passive" ou quelle "activité passive" reste-t-il?
L'action passive suggère qu'il existe quelque chose pour remplir ce rien, mais si on ne le trouve pas, on ne fait rien, est-ce encore une action passive? Ça ressemble quand même beaucoup à de l'inaction.
D'un côté, on ne doit pas forcer, mais de l'autre si on ne se force rien, c'est l'inaction, autrement dit, on a faux dans les deux cas. Non?
Et la c'est parti en quenouille, ça a été interprété comme "mon cas" alors que j'étais sur une idée générale.
Peut-être aussi que cette conversation m'a amené à réveiller certaines envies qui ne me semblaient plus si prégnantes.Enfin, toute mes excuses, si vous avez cru que je me moquais.
PS: Je n'ai jamais demandé à quiconque de me mâcher le travail, j'ai toujours fait mon boulot moi-même et assumé mes responsabilités. Je me suis planté en tentant de créer ma boite, c'est ma faute, c'est clair, c'est dit et je l'assume. Ça ne veut pas dire que je suis d'accord avec ce que fait l'Etat et je m'estime en droit de le critiquer si clairement il se fourvoie. De même je m'estime en droit de le critiquer si entre les discours et la réalité, concernant les dispositifs de formation, il y a plus qu'une marge, il y a mensonge net, clair et sans bavure, confirmé même par les conseillers de pôle emploi lorsqu'on les a face à soi. La SEULE région qui a une démarche réaliste et proactive, c'est l'Auvergne. C'est suffisamment exceptionnel pour que je le souligne.
PS 2 : Être inscrit au CNAM, c'est ne rien faire?
PS 3 : J'économise mon RSA, au point de me priver de tout, pour être capable de me payer un nouveau PC et être en mesure de changer de région, c'est me garder les doigts dans le cul?!?